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HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 828
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HOMME INACCESSIBLE Chapitre 828 by Rimelia

 

Chapitre 828 Lorraine a crié : - Alors elles peuvent casser ma jambe sans payer le prix ?

La gardienne arépondu : - Bien sûr, tu peux porter plainte.

Dans ce cas, je vais demander aux polices de faire des interrogations.

Mais tu seras également interrogée par la police.

Franchement, tes paroles sont en l'air.

Elles pourront nier facilement ce que tu dis en prétendant que c'est toi qui as frappéMme Xavier.

Tu soulèveras une pierre pour se laisser retomber sur les pieds.

Ses paroles ont rendu Lorraine désespérée.

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Elle savait bien que ces prisonnières étaient méchantes.

Sous la direction de Josette, elles étaient très unies.

D'ailleurs, elle les a irritées.

Même si elle portait plainte, elle obtiendrait peut-être un résultat opposé.

Dans ce cas, elle serait en difficulté.

Ainsi, il valait mieux quitter la prison le plus vite possible! Lorraine a hoché la têteet a dit à contrecâur : - Je veux

sortir.

Je veux quitter la prison maintenant ! La gardienne a hoché la tête.

Elle l’a aidée à sortir des toilettes et l'a conduite à l'extérieur.

En ce moment, Lorraine a tourné la tête vers les autres prisonnières en disant :

- Attendez,grandes cruches, attendez que je vous coince ! Mme Xavier a répondu dune voix glaciale: - Salope, tu es

damnée ! Mais cela n'a pas attiré l'attention de Lorraine.

Elle a jeté un regard sur Josette en disant: - Attends, sale putain, attends que j'excavela tombe de ta mère ! Josette

a crié furieusement : - Essaie ! Je vais te tuer.

Avec l'aide de la gardienne, Lorraine s’est dirigée vers l'extérieur en disant : - On verra bien.

Après avoir quitté la prison, va visiter la tombe de ta mère pour voir si je disperseraises cendres ! Ceci dit, Lorraine

a quitté la cellule avec la gardienne.

La gardienne l'a emmenée dans un bureau où étaient déjà assis deux policiers.

Ils étaient les responsables de son procès.

Les deux policiers étaient stupéfiés par ce qu'ils ont vu.

La gardienne leur a expliqué : - Lorraine vient de se battre avec les autres prisonnières.

Elle a mal à la jambe.

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Lorraine a dit furieusement : - Mal à la jambe ? Tu ne vois pas que ma jambeest cassée ? La gardienne a dit d'un

ton froid: - Tu as oublié ce que je t'ai dit ? Tu veux encore rester ici pour recevoir des enquêtes ? L'un des policiers a

dit : - Bon.

Lorraine, tu as la chance de pouvoir rentrer chez toi.

Quant à la jambe, tu peux aller à l'hôpital pour traitement.

Lorraine a hoché la tête avec réticence en disant: - Monsieur, quand serai-je libre ? Le policier a

répondu : - Tu as bien retenu ce que nous avons dit? Lorraine a dit : - Bien sûr.

Ne vous inquiétez pas, je ne dirai rien.

Après avoir été battue par les trois femmes, Lorraine avait le trouillomètre à zéro.

Elle savait que sa vie était mise en danger.

Elle ne voulait que s’en tirer.

Comment ose-t-elle parler de tout cela ? Le policier était satisfait de sa réponse.

Il lui a donné son portable.

Puis il a dit :

- Très bien.