HOMME INACCESSIBLE

Chapter 1892

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Chapitre 1892

Clément lui a demandé :

– Kyan, as–tu un plan?

Clément ne savait pas à quoi ressemblait l’humeur de Kyan en ce moment–là, mais voyant qu’il semblait un peu

triste pour sa mère, Clément a pensé qu’il pourrait vouloir aider la vieille dame.

En ce moment–là, Kyan a soupiré et a déclaré :

Voir de mes propres yeux ma mère vivre une telle vie et faire un tel travail, en tant que fils, je me sens très triste

pour elle et je ne peux pas y rester indifférent.

Après avoir dit cela, Kyan a soudainement changé de sujet, s’est couvert les yeux et a dit:

Mais, je n’ai rien vu! Tout n’était qu’une hallucination tout à l’heure!

Après avoir fini de parler, il s’est retourné rapidement et a dit à Clément :

Bon gendre, allons d’abord acheter du poisson, des crevettes, de la viande et des ceufs. Quant aux légumes,

achetons–les dans un autre supermarché, qu’en penses–tu ? ?

Clément comprenait très clairement le sens des propos de son beau–père, il a immédiatement souri et a dit:

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–

Oui, je suis d’accord avec toi, les légumes de ce supermarché ne sont en effet pas très fraîches,

allons au marché des légumes pour les acheter plus tard, allons d’abord voir s’il y a des homards, et si c’est le cas,

achetons–en quelques–uns pour les ramener à la maison !

Kyan a souri, a pointé Clément du doigt et a soupiré :

Tu me comprends toujours! Allons–y, allons acheter des homards!

Bien que Kyan se soit senti quelque peu compatissant à ce qui était arrivé à sa mère dans son cœur, il n’était pas

un imbécile.

Il avait vu le vrai visage de Mme Xavier.

À l’époque, quand elle osait chasser Kyan et sa petite famille de leur maison familiale, elle l’avait fait d’une manière

très impitoyable, et elle n’était pas du tout sensible au fait qu’elle le faisait à son propre.

fils.

Lorsqu’elle faisait du mal à Chloé, elle était également extrêmement impitoyable.

Plus tard, la famille Xavier avait fait faillite. Afin de pouvoir venir habiter dans la villa au Quartier Glitact,

elle avait fait beaucoup de choses dégoûtantes.

Kyan en avait depuis longtemps marre de voir sa mère répétait ses coups bas.

Par conséquent, il espérait également que le temps allait pouvoir donner à sa mère une très bonne leçon.

Avant que Mme Xavier ne se repente complètement, il n’avait aucune intention de l’aider.

Après que Kyan et Clément ont acheté beaucoup de choses, ils ne sont sont pas retournés à la section. des

légumes. Après avoir chargé un chariot plein d’ingrédients divers, ils ont poussé le chariot jusqu’à la caisse pour

payer.

Dans la zone des caisses en ce moment–là, il y avait de longues files d’attente devant chaque caissière.

Clément et Kyan ont fait la queue pendant plus de 20 minutes avant d’arriver finalement à l’une des

caisses.

Voyant que c’était son tour de payer, Kyan s’est précipité vers le chariot et a dit à Clément :

Bon gendre, tu restes à l’arrière et tu donnes nos produits à la caissière pour qu’elle scanne le code, et je vais aller

devant pour les mettre dans des sachets,

Clément a hoché la tête et Kyan est entré le premier dans l’allée du caissier. Avant que Clément ne se rapproche

du chariot, il a dit à la caissière :

Donne–nous quatre de vos plus grands sachets en plastique.

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La caissière a hoché la tête et a dit :

– Les gros sachets en plastique coûte 5 centimes chacun.

Pendant qu’elle parlait, elle a baissé la tête et a sorti quatre grands sachets en plastique du tiroir latéral et les a

tendus à Kyan.

Kyan a pris les sacs en plastique, a levé les yeux inconsciemment et s’est immédiatement exclamé :

– Oh, Mireille ?! Pourquoi es–tu ici?

– Ah?! C’est… c’est toi ?!

Devant la caisse, Mireille, qui portait un uniforme de supermarché, a regardé Kyan et elle a été tout

aussi abasourdie!

Elle n’aurait jamais imaginé qu’elle tomberait sur Kyan au moment où elle était forcée de travailler comme

caissière d’un supermarché !

Elle était aussi très stupéfaite quand elle a vu Clément debout de l’autre côté du chariot.

Lorsque Mireille a vu Clément sortir un grand sachet en plastique contenant plusieurs homards de première qualité,

elle s’est immédiatement dit avec aigreur :

« J’ai eu faim toujours, et je suis restée debout ici toute la matinée affamée, ce n’est même pas encore l’heure où

le supermarché nous permet à déjeuner, et eux ils se permettent d’acheter tant de homards! Pourquoi il y a une si

grande différence de niveau de vie entre deux familles vivant dans le même Quartier Glitact!

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