HOMME INACCESSIBLE

Chapter 913

Chapitre 913

Les hélicoptères se sont unis en banlieue et puis envolés pour attraper l‘objectif, tandis que ce dernier, l‘Iveco, avait

dû faire des pauses régulières sur la route nationale, continuant à rencontrer le feu ou l’embouteillage. Si Abélard

choisissait à prendre la route nationale mais pas l‘autoroute, c‘était parce que celle–ci était à sens unique et qu‘on

n‘arriverait pas à s‘enfuir si l‘on rencontrait la police, et ce n‘était pas le même cas pour la route nationale ouverte

et liée aux petits chemins. Si en danger, on pouvait fuir à pied et se cacher dans une certaine campagne, résidence

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ou usine. Cependant, son choix avait également donné à Clément le temps pour attraper. Les hélicoptères volant

dans le ciel, sans besoin de faire la pause, ni de changer la voie, leur vitesse atteindrait même 200 kilomètres à

l‘heure. Une heure plus tard, Clément était à presque 100 kilometres d‘Abelard.

Edmond a dit à Clément:

– Mon seigneur, comme leur vitesse est environs 40 ou 50 kilomètres à l‘heure, nous pourrons les attraper une

demi–heure plus tard.

Clément a hoché la tête avant d‘ordonner : – Contacte mes forces là–bas et fais–leur bloquer la route à l‘avance. Je

vais attraper les trafiquants dans le piège.

Edmond a vérifié la localisation à temps réel en disant:

– Il y a devant eux un grand pont. Je vais faire bloquer le pont avant qu‘ils ne puissent passer sur le pont!

– Bonne idée ! Fais–le alors! a dit Clément avec satisfaction.

Bientôt, deux cortèges de camions d‘ingénierie sont partis de deux chantiers à deux côtés de la rivière, qui

appartenaient tous à une société immobilière des Huet. Chaque cortège se composait d‘une vingtaine de camions

remplis de ciments et chaux. Comme leur poids pesait presque 40 tonnes, aussi lourd comme un tank, aucune

voiture n‘arriverait pas à les détruire, encore, avec tant de camions à deux côtés, ce ne serait pas facile pour un

tank de se détacher.

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L‘autre côté, le frère d‘Abélard conduisant vers le pont, Abélard s‘est réjoui:

– A l‘autre côté, c‘est la Cité S! – Super ! Sa speur a éclaté de rire, avec l‘argent, on pourra aller aux Maldives !

Comme aucun visa préalable n‘est requis pour y entrer, nous pouvons acheter le billet d‘avion pour y aller!

Continuant à conduire, le frère d‘Abélard a dit : – Attends, pourquoi tellement de camions là–bas?

Les gens ont regardé à travers la vitrine les camions remplis de ciments et chaux.

Abélard ne l‘a pas pris au sérieux : – Ils sont là pour envoyer les matériaux de construction au champ de chantier.

N‘importe quoi, on va les doubler. L‘Iveco a accéléré pour dépasser le cortège d‘ingénierie. Ensuite, ce dernier a

roulé côté à côté et embouteille toute la route, pour que les autres voitures ne puissent doubler.